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"La douceur d'un livre n'est rien comparée à celle de ta peau" [ft Garrou]

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Blue-Ivy Z. Kennedy
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Blue-Ivy Z. Kennedy
MessageSujet: "La douceur d'un livre n'est rien comparée à celle de ta peau" [ft Garrou] "La douceur d'un livre n'est rien comparée à celle de ta peau" [ft Garrou] Icon_minitimeJeu 12 Juil - 16:19

"La douceur d'un livre n'est rien comparée à celle de ta peau" [ft Garrou] Rupert_Grint2

L'ennui. Ce mot me revenait sans cesse à l'esprit ces derniers jours, alors que Poudlard était vide de tout élève. J'avais beau sortir aussi souvent que possible, passer mes après midi allongée dans l'herbe au bord du lac avec un livre entre les mains, aller faire un tour au chemin de Traverse ou à Pré au Lard, quand je revenais au château, c'était toujours la même impression de vide et de froid saisissante qui revenait à la charge. Certes, il y avait encore quelques âmes qui vivent ici au château, comme les professeurs, Anthea ou encore Oliver, mais sans élèves qui couraient dans les couloirs, sans les bruits de conversations incessantes, sans les fous rires ou les coups de gueule des ces adolescents magiques, Poudlard perdait une grande part de son charme.

J'avais pourtant tout fait pour m'occuper aujourd'hui. Le matin, j'étais partie me promener au chemin de Traverse, faisant d'éventuels repérages pour la rentrée, cherchant comment rendre ma classe, et mon cours par la même occasion, plus attractif. J'avais trouvé quelques petites choses sympathiques, et en particulier un manuel qui m'était inconnu, et dont la lecture avait l'air intéressante. En rentrant à midi, j'avais rejoint Anthea et Theodore qui mangeaient en tête à tête à la table des professeurs, et voir la Grande Salle vide ne semblait d'ailleurs plaire à aucun des deux. Bien sûr, je pouvais toujours aller passer quelques jours chez mes grands parents, où je savais que ma grand mère se plierait en quatre pour être à mes petits soins, ou je pourrais même aller dans la petite maison que je partageais avec Benjamin, mais la perspective de passer ne serait ce que quelques heures en compagnie de Nolan, son fidèle meilleur ami qui serait bien évidemment là, me hérissait le poil. Et puis, il fallait aussi avouer que je ne me sentais jamais aussi bien qu'entre les murs de pierre de Poudlard, où je me sentais vraiment chez moi.

L'après midi, je m'étais entraînée à faire mes sortilèges, sortilèges que je maîtrisais pourtant très bien, allongée sur l'estrade depuis laquelle je faisais la plupart de mes cours. Puis comme toute après midi qui se respectait, j'avais fait mon tour dans le parc, puis avait rejoint Gabriel dans sa cabane, où il m'avait gentiment convié à prendre le thé. Le jeune garde chasse n'était pas quelqu'un de très bavard, mais si on prenait la peine de chercher à le connaître, sa compagnie et ses conversations se révélaient particulièrement intéressantes.

Sur les coups de 17h30, j'avais quitté le confort douillet de sa cabane pour me rendre à nouveau sur le Chemin de Traverse, direction la librairie de Garreth. Quand j'y arrivais, un nombre considérable de clients s'y trouvaient, je reconnus même certains élèves venus chercher de nouveaux livres pour les cours, ou encore d'autres sorciers adeptes comme moi de ce petit coin de paradis. Ne voulant pas déranger le libraire qui était sûrement très sollicité, je me dirigeais directement vers mon rayon préféré, puis m'emparais d'un livre au hasard, avant de m'asseoir à même le sol comme bien souvent, commençant ma lecture.

C'est fou comme le temps passait plus vite lorsque l'on avait un bon bouquin entre les mains. J'avais toujours adoré lire, depuis toute petite déjà, et j'arrivais à occulter le monde entier lorsque j'avais quelque chose qui me plaisait à lire. Mot après mot, ligne après ligne, chapitre après chapitre, toute la librairie disparu peu à peu, tout comme les bruits de conversation, alors que rien d'autre n'existait que ces chroniques magiques d'un autre temps que j'avais entre les mains. Le temps semblait même suspendre son cours, ou du moins, je ne faisais plus attention à l'heure qu'il était. Assise en tailleur, le dos en appui contre l'une des étagères, le livre sur mes genoux, je ne m'étais même pas rendu compte que le soleil avait commencé à décliner dans le ciel, ni même qu'il n'y avait désormais plus un bruit dans la librairie.
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Garreth H. Allen
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Garreth H. Allen
MessageSujet: Re: "La douceur d'un livre n'est rien comparée à celle de ta peau" [ft Garrou] "La douceur d'un livre n'est rien comparée à celle de ta peau" [ft Garrou] Icon_minitimeVen 13 Juil - 8:39

” Oh une belle blonde ! ”

    On venait de rentrer de notre fantastique week-end avec Connor, à dire ça comme ça, on aurait dit un petit couple revenant de quelques jours en amoureux ! Mais ce n'était absolument pas ça, mais quoi qu'on fasse, c'était un fantastique week-end. Moi qui n'aimait pas sortir de la maison pour un sous, j'avais fortement apprécié le moment. De la bonne humeur, de la bière au beurre, un match épic mais vraiment amical, une bonne vue ! Du camping, et mon Coco qui avait l'air des plus émerveillé, comme un enfant. C'était sympa en faite de voir qu'avec peu, il était heureux, je me sentais utile avec lui et Pixie. Pixie, en parlant d'elle, au début, en arrivant dans l'appartement, on était fortement content, tout était propre et bien rangé, mais alors le carnage à la cuisine. Je me souviens encore de la réaction de Coco "On dirait qu'un gnome a vomi sur les murs." Moi je regardais la scène dépité en lançant un sort avec ma baguette parce que je n'avais pas le courage de changer ça moi même. Et puis j'avais toujours vu les éponges nettoyer les poêles sans huile de coude. Tout ce mit en route, alors que je pris le pas de sa chambre, toquant, puis entrant. "On est rentré ! T'aurais pu nettoyer la cuisine, mais je suis quand même content de toi." Je lui lançais un petit cadeau, deux bracelets aux couleurs des deux équipes d'hier, je ne savais pas qui elle aimait et puis même choisir entre un vert émeraude avec un trefle scintillant ou un bleu turquoise avec un arc-en-ciel se dessinant de temps à autre dessus, c'était dur de choisir, comme ça elle avait les deux un petit sourire de ma part et un bonne nuit ! Parce qu'il était 22h30 à notre retour et qu'on était litterralement épuisé avec Coco ! Surtout que je devais ouvrir la boutique le lendemain, que lui devait reprendre le boulot, et que Pixie allait flemmardiser. 8h, j'entrais dans la chambre de Coco. "Debout allez !! Tu dois être au boulot dans 30 minutes !" Il grognait me faisant légèrement rire. "Allez mon Coco tu vas être en retard." Montant les marches, je toquais à la porte de Pixie avant de rentrer. "Pixie, Coco va pas tarder, et moi je vais maintenant à la boutique, si ça va pas tu descends, t'as des brioches pour le petit déjeuner, et pour le repas y'a tout dans le frigo, t'as juste à réchauffer, et si tu sors tu viens me prévenir avant !" Elle grognait aussi mais au fond, elle aimait qu'on lui montre qu'elle était importante. Je déposais un bisou sur sa chevelure avant de partir à la boutique en avalant une brioche tout en préparant la caisse et ouvrant aux livreurs qui ramenaient les nouvelles commandes. Je soupirais en voyant tout ce que j'avais à ranger.

    Il y'avait déjà 4 personnes devant la librairie alors que ce n'était pas ouvert, la journée promettait d'être intense, moi qui n'avait pas ouvert Samedi ce qui était rare j'allais en pâtir un peu aujourd'hui. Je donnais des coups de baguette magique et les livres se mirent à flotter dans les airs, je les dirigeais dans un mouvement souple et précis pour les faire aller dans la direction voulue et rangée plus facilement. Je n'aimais pas spécialement faire ça, j'étais quelqu'un de très manuel, trop peut être. Mais parfois c'était plus aidant. Buvant un coup d'eau en vérifiant ma tenue, je réajustais ma chemise et ma cravate changeante de couleurs en fonction de ce qu'aimait les gens. Elle passait du rose, au vert, au noir, à l'orange, parfois à l'arc-en-ciel. C'était plutôt beau sur ma chemise blanche, et mon jean foncé. Je n'étais pas habillé comme la plus part des sorciers, peut être parce qu'on avait gardé ce coté très moldu en nous grâce à la mère de Connor et que je voulais mélanger au mieux nos deux mondes. Les prévisions de la matinée furent juste ! c'était une journée bien chargée, comme d'habitude avec aucun temps pour manger le midi ! Un cri me fit sortir mes pensées alors qu'il était 15h environ, sursautant et courant dans l'allée je fus surpris de voir des lutins, grognant je pris ma baguette. "Immobilus !" Ils se figèrent tous dans les airs, mon regard se posa sur une jeune femme qui tenait une cage ouverte. "Pardon je devais les apporter à mon père... mais ils se sont échappés..." "Pas grave..." On les ramassa un à un et les remit en cage ! Une bonne chose de faite, je pus me remettre à mes occupations, il fallait courir de tout les cotés. Attraper les commandes de certains clients, trouver des livres que j'avais reçu il y'a des mois ou des années en arrière, donc partir dans la réserve. Revenir et avoir une caisse de 12 personnes allant presque jusqu' à la porte du magasin. Oui vivement que je prenne un saisonnier, ou encore que Pixie ne daigne m'aider un peu, mais je n'allais jamais lui demander une telle chose.

    Ca se calma légèrement vers l'heure du thé alors que les gens partaient boire un peu, j'étais passé d'une boutique archipleine à une boutique pleine ! C'était toujours mieux que rien, buvant encore un peu, j'épongeais mon front en souriant à une petite dame âgée. "Je voudrais un livre pouvant redonner l'envie à mon cher Archibald !" "L'envie.... ?" demandais-je tout gêné.... "Oui l'envie." "D'accord ça j'ai bien compris mais quelle envie Madame Tourne-Sac !?" "Ben l'envie de cultiver à nouveau le potager ! J'ai envie de manger des bonnes carottes moi !" J'eus un soupire de soulagement avant de me prendre un coup d'ombrelle sur la tête ! "Petit dévergondé !" Je rougissais en filant chercher deux livres qui auraient pu lui plaire, elle en acheta un en disant à je-ne-sais-combien de personnes que j'étais dévergondé pour finir par s'en aller. "C'est toujours pour ma poire les situations là..." Je soupirais à nouveau avant de me remettre au travail, voyant Blue arriver vers 17h30 et filer dans son rayon favori, j'eus un petit sourire en coin en voyant mon ex. Le temps continua de défiler, le lundi je fermais à 20h ! Pourquoi ? Parce que c'était un jour de reprise et que c'était nul de fermer à 21h ! La salle se vida doucement, je retournais le panneau pour dire que la boutique était fermée, et lança les enchantements de protection et de verrouillage sur la porte. Une fois l'argent mis dans le coffre, je retournais vers elle d'un pas silencieux avant de m'accroupir tout aussi doucement. "Tu comptes le payer ?" Elle sursauta et me frappa légèrement avec le bouquin, j'eus un petit rire. "T'es enfermée avec moi ! Tu veux rester ici ou monter à l'appartement ?" Connor était passé en vitesse une heure avant que je ne ferme disant qu'il irait boire un verre avec des collègues pour raconter le week-end et le match, on avait du temps pour nous. "J'te ferais à manger et on ira s'enfermer dans ma chambre devant une cheminée improvisée !" Oui il y'avait du sexe entre nous, mais pas que ! Nous étions réellement ami avec Blue et adorions passer du temps ensemble. Elle était un petit rayon de soleil avec un fort caractère, je crois que je n'avais quasiment que des gens comme ça autour de moi en faite. Prenant ma main dans la sienne, je l'aidais à redresser, puis on prit le chemin de l'appartement. "Que me vaut l'honneur de ta visite ?" Arrivant à la cuisine, je me mis en quête de quelque chose à cuisiner.
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Blue-Ivy Z. Kennedy
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Blue-Ivy Z. Kennedy
MessageSujet: Re: "La douceur d'un livre n'est rien comparée à celle de ta peau" [ft Garrou] "La douceur d'un livre n'est rien comparée à celle de ta peau" [ft Garrou] Icon_minitimeSam 14 Juil - 17:26

Durmstrang, au nord, offrait aux jeunes hommes une solide éducation magique, alors que Beauxbâtons, en France semblait être une école exclusivement féminine,en Espagne, la magie était enseignée aux jeunes sorciers à Cascadia, alors qu'en Allemagne, les cours se déroulaient à la montagne sacrée, Berg Heilig. Mon imagination était telle, ce qui avait toujours était le cas, que je n'avais aucun mal à m'imaginer tous ces lieux magiques, ainsi que la vie que les jeunes sorciers devaient y mener.

J'imaginais l'école nordique encadrée par un beau paysage naturel, où les arbres seraient couverts de neige en hiver, et où les élèves feraient des batailles de boules de neige dans le parc qui encadrait sûrement l'académie. A Beauxbâtons, l'école devait offrir une vue sur la Tour Eiffel, sinon à quoi bon avoir une école en France ? Cascadia se trouvait en bord de mer, si bien qu'il était dur d'en déloger les élèves pendant les vacances, mais ce n'était pas pour déplaire aux professeurs et au directeur, qui aimaient voir leur académie animée. Et pour ce qui était de Berg Heilig, je n'avais aucune difficulté à l'imaginer au sommet d'une colline, veillant sur une ville située en contrebas, avec à perte de vue rien d'autre que la forêt.

Tant d'académies dans lesquelles il devait faire bon vivre, ou enseigner d'ailleurs, mais je savais que mon cœur appartenait à Poudlard, il en avait toujours était ainsi, et ce serait toujours le cas. Rien ne valait la sécurité offerte par ses murs en pierre, la convivialité de sa Grande Salle, et la beauté de la vue qu'offrait le lac et la forêt interdite. Tout à Poudlard méritait une ovation à mon avis, et je ne disais pas cela uniquement parce que j'en étais professeur.

Par simple curiosité, je me demandais si on pouvait visiter ces académies, ou même y donner deux ou trois cours. Ca serait intéressant, même si je savais déjà que je ne pourrais rester loin de mon Angleterre natale trop longtemps, car ici se trouvaient mes sources, et ceux que j'aimais. Mais je n'étais pas contre un voyage de quelques semaines, ou même quelques mois. Seule la langue pourrait, au final, s'avérer être une barrière plus ou moins difficilement franchissable. Enfin, j'étais sorcière...et dans le monde sorcier, on arrivait souvent à trouver des solutions pour tout, et même n'importe quoi. Il devait bien exister un sort pour pouvoir parler avec des sorciers d'autre langue également.

Perdue dans mes réflexions, je n'entendis pas Garreth approcher, ni même se mettre accroupi à côté de moi, et quand il prit la parole, il me fit sursauter, me sortant brusquement de mes pensées. J'avais toujours l'impression d'être seule quand j'avais un livre entre les mains. Je refermais le bouquin et lui donnais un coup sur l'épaule avec, avant de lui répondre :

« -Non, je viendrais le finir demain ou après demain, comme ça tu auras encore le plaisir de ma compagnie ! » dis je dans un large sourire malicieux.

Me tortillant pour voir l'heure affichée à une pendule, je haussais les sourcils en me rendant compte qu'il était aussi tard, puis me tournais à nouveau vers le jeune homme, qui me proposait soit de monter à son appartement, se situant juste au dessus, soit de rester dans la boutique. Puisque aucune soirée folichonne ne m'attendait à Poudlard, je lui fis signe de l'index en montrant le plafond, pour lui dire que je n'étais pas contre le fait de monter à l'appartement avec lui. Un sourire amusé éclaira mes traits lorsqu'il annonça qu'après avoir mangé nous irions dans sa chambre devant une cheminée improvisée.

« -Tu fais le coup de la cheminée à toutes les jolies demoiselles qui restent jusqu'à la fermeture de la librairie? En tout cas, moi je marche ! » répondis je d'un ton amusé, tout en prenant sa main, tandis qu'il m'aidait à me relever.

Je rangeais rapidement le livre que j'avais commencé à lire, puis le suivait sur le chemin de l'appartement. Pour quiconque nous connaissait un minimum, Garreth et moi étions de très bons amis, d'assez longue date déjà, qui passaient pas mal de temps ensemble, à discuter de tout et de rien, à rire comme des gamins, à s'amuser simplement. D'autres encore nous voyaient comme un ancien couple qui avait gardé de bonnes relations, puisque Garreth et moi étions sortis ensemble quelques temps. Mais comme notre couple ressemblait plus à une sorte d'amitié améliorée, et finalement, nous étions tombés d'accord sur le fait qu'être de bons amis nous allait mieux. Cependant, peu de personnes nous voyaient comme les ex qui s'envoyaient encore en l'air de temps en temps, à la lueur d'une cheminée artificielle. Et pourtant, Garreth et moi avions gardé l'habitude de nous voir dans l'intimité d'une chambre, ou entre les rayonnages déserts de sa librairie pour quelques baisers et autres galipettes.

Une fois arrivés dans sa cuisine, je m'asseyais à table, tout en le regardant farfouiller un peu partout :

« -On s'est pas vus du weekend, ca commençait à faire long...et puis, tu as des choses à me raconter, non ? Alors ce match, c'était comment ? Tu t'es bien amusé avec ton Coco ? » demandais je, tout en me relevant, pour l'aider à préparer à manger.

Prenant une grosse casserole, je la remplissais d'eau, puis mettais le tout sur le feu, et en attendant que l'eau bouille, je récupérais les poivrons et l'oignon que Garreth avait sorti, puis les lavais et m'emparant d'une planche à découper et d'un large couteau, j'entreprenais de découper l'oignon, qui commençait à me piquer les yeux, et à y faire naître quelques larmes, puis passais dans la foulée aux poivrons. La magie avait beau avoir des avantages considérables, rien ne valait le travail manuel pour certaines choses, comme par exemple pour la cuisine.
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Garreth H. Allen
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Garreth H. Allen
MessageSujet: Re: "La douceur d'un livre n'est rien comparée à celle de ta peau" [ft Garrou] "La douceur d'un livre n'est rien comparée à celle de ta peau" [ft Garrou] Icon_minitimeDim 15 Juil - 9:13


” Oh une très belle blonde ”


"Le plaisir ? Le malheur plutôt !" J'adorais la taquiner, et voir sa fausse tête de pas contente, je parlais peu avec Blue, mais nos mimiques valaient tout l'or du monde lorsque nous étions tout les deux. Il ne fallait que peu de chose pour qu'on se comprenne. C'était assez simple, c'était ce que j'aimais avec elle. Pourquoi ça n'avait pas marché entre nous ? Bonne question, je crois que même en couple on ne ressentait pas se manque, ou cette impatience à ce voir absolument, c'était peut être finalement pour ça que ça n'avait pas marché. Mais on était redevenu ami avec plaisir. Cependant il fallait avouer, qu'on adorait le plaisir de la chair, et ensemble c'était torride, alors on avait décidé de garder ce coté là dans notre relation sans le dire. Pas même Connor. Il fallait dire en même temps que je me voyais mal lui parler de ma vie sexuelle. On avait beau tout se dire avec mon cher cousin, il y'avait malgré tout des choses dont je ne savais absolument pas parler. C'était comme avec Pixie pour les préservatifs et le contraception. "Tu... tu mets des chapeaux et tu prends tes bonbons hein ?" Elle m'avait regardé avec des yeux énormes avant de rougir et de me frapper avec son coussin en comprenant que je parlais de ça. J'étais vraiment pas doué pour certaines choses, et ma future femme allait devoir s'accrocher, parce que plus d'une fois je partirais pour fuir la conversation. J'étais souvent dans cette optique de fuite des conversations. Depuis tout petit d'ailleurs, mais je crois qu'on m'apprécie tout bonnement ainsi.

Bref, elle prit ma main après m'avoir montré le plafond avec son doigt afin de me faire comprendre que ma proposition était plus que tentante. Je le voyais à son petit sourire en coin, et même si je n'étais pas du genre accro à la bagatelle, Blue réveillait en moi pas mal d'instincts primaires. "Non ce genre de phrase c'est uniquement pour les jolies blondes." Encore une taquinerie, j'étais à fond aujourd'hui. On prit le pas vers l'appartement tout les deux comme un petit couple avant de finir dans la cuisine. Elle fit sa courageuse à éplucher les oignons alors que l'eau bouillait timidement pour les pâtes, je pris du hachis et le fit revenir avec pleins d'assaisonnement dans un wok, elle y r'ajouta ses oignons et les poivrons, moi les tomates et les courgettes, et on laissa le tout cuire lentement le temps que l'eau ne soit assez chaude pour mettre les pâtes. Profitant du moment, je déposais un baiser sur son épaules puis dans son cou, et enfin sur sa joue avant de sourire faiblement en sentant son parfum. "Tu sens toujours aussi bon." L'enlaçant par derrière, on prit par un câlin, c'était assez rare venant de ma part les câlins spontannés, mais après le folie du week-end, je devais avouer que ça faisait le plus grand bien. "Oh géant ! Même pour moi, je me suis bien amusé, comme promis, il m'a fait porter un chapeau ridicule, et m'a même peint la joue aux couleurs des Harpies, mais c'était sympa. J'adore le voir avec son air de gosse, ses yeux qui pétillaient et son sourire." Parfois j'avais l'impression de tenir un discours amoureux. C'était si mal que ça de vénérer son cousin sans répis ? Je ne vouyais rien de plus en lui, mon dieu ! Mais voilà, je trouvais que Connor était un homme parfait, et nous étions aussi un duo parfait qu'on en dise. Il était plus qu'un cousin, il était mon jumeau.

Les pâtes furent fin cuites, relâchant mon étreinte autour de Blue, je pris la peine de les égoutter avant de les plonger dans la préparation d'avant qui avait mijotée et réduit, une délicieuse odeur s'en échappait. R'ajoutant de la crème et du fromage, on réajusta l'assaisonnement, aimant les épices tout les deux. Elle s'empressa de mettre la table au bar acollé à la cuisine, et moi de servir les assiettes et à boire. On s'installa côte à côte. "Et toi alors, tu as fait quoi de ton week-end ? Bosser au ministère ? Je ne sais pas comment tu fais pour aimer travailler avec des chieurs pareils !" Non, je n'étais vraiment pas fan des minitres et du ministère, et encore moins du grand ministre de la magie. Cette homme était un abrutit congénital élu parce qu'il était trop beau pour être vrai. Tout comme je ne comprenais pas encore pourquoi il ne faisait rien contre les purificateurs. Ils grandissaient à vue d'oeil et le ministère semblait totalement aveugle de ça, ou alors il avait déjà choisit son camps, ce qui ne m'aurait pas étonné. Soupirant, je me calmais en avalant les bouchées de notre préparation, manger ça avait largement le pouvoir de me calmer. Je donnais un coup de baguette afin que tout se range et se nettoie sans nous, lui prenant la main pour l'entrainer dans la chambre, en profitant pour l'embrasser une fois la porte fermée. Me détachant de sa douceur, je pris le chemin de l'armoir afin de retirer ma chemise pour passer un simple t-shirt, puis de retirer mon jean à troquer contre un jogging, j'eus un soupire d'aise. "Pardon, je passe de classe à plouk mais j'en avais trop envie." Je me mis dans le lit, Blue vint m'y rejoindre pour se mettre dans mon lit, dans mes bras, alors que d'un coup de baguette j'allumais la cheminée présente dans ma chambre. "Et voilà ! tout pour une bonne soirée."
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Blue-Ivy Z. Kennedy
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Blue-Ivy Z. Kennedy
MessageSujet: Re: "La douceur d'un livre n'est rien comparée à celle de ta peau" [ft Garrou] "La douceur d'un livre n'est rien comparée à celle de ta peau" [ft Garrou] Icon_minitimeMar 17 Juil - 19:21

J'essuyais d'un revers de main mes yeux humides, avant de mettre les légumes fraîchement coupés dans la poêle chaude, où mijotait déjà du hachis, dégageant une bonne odeur qui me donna soudain faim. Garreth ajouta sa préparation, et alors que je regardais le tout cuire doucement, il s'approcha de moi, déposant un baiser sur mon épaule, puis mon cou, et enfin ma joue, faisant courir des frissons le long de mes bras. Je ne bougeais pas quand il m'enlaça, et posais même ma tête contre son bras, me serrant un peu plus contre lui.

Nous n'avions jamais été du genre gros câlins tous les deux, ni en public pour se prouver notre amitié, ou encore quand nous étions en couple, ni même dans notre intimité, lorsque nous n'étions que tous les deux. Si je pouvais affirmer de façon quasi sûre que les câlins n'étaient sûrement pas le domaine où Garreth devait se montrer le plus à l'aise, j'avouais que moi même je ne me montrais aussi câline qu'avec des personnes bien spéciales, et en de rares occasions, étant gênée quand on me montrait un peu trop que l'on tenait à moi. Le sentimentalisme, très peu pour moi, merci !

Quand bien même, sentir le corps chaud de Garreth derrière moi, et qui me serrait contre lui n'avait rien de désagréable, loin de là même. J'eus un petit rire en l'entendant parler de son weekend. On aurait dit un gamin à l'entendre parler, mais il avait l'air de s'être bien amusé, et j'étais quasi sûre que si je me retournais et plongeais mes yeux dans les siens, j'y verrais des petites étincelles pétiller à l'évocation de ses souvenirs. Il était tellement différent quand il était avec Connor, il souriait, il était de bonne humeur. Il était vivant. Comme si le fait de s'éloigner de son cousin, de son frère, de son tout, pouvait lui faire perdre de son éclat.

Lorsque les pâtes furent enfin prêtes, Garreth s'occupa de les mélanger à la préparation, alors que j'allais chercher la crème et le fromage, puis quelques épices. Une petite cuillère en main, je goûtais le mélange, avant de laisser échapper un « hmm » plus que convainquant, puis m'empressais de mettre la table, alors que Garreth ramenait le tout. On disait souvent que l'appétit venait en mangeant, mais dans mon cas l'expression se transformait plus en « l'appétit vient en faisant à manger ». Je sentais mon ventre gargouiller, et j'étais bien contente de pouvoir avaler la première fourchetée, même si elle était assez chaude.

« -A nous deux, on aurait du devenir chef cuisinier, on aurait eu du succès ! » dis je, à peine avalé, alors que je reprenais une autre part.

Je me tournais vers Garreth assied à côté de moi quand il prit la parole, esquissant un sourire en l'entendant traiter les membres du ministère de chieurs. Avalant une gorgée d'eau, je reposais mes couverts, avant de m'essuyer la bouche :

« -Ce sont pas tous des chieurs, même si on a des cas quand même. Et oui...j'ai bossé au ministère ce weekend. Un né moldu à fait une crise de colère, et a lancé tout un tas de sorts sans même s'en rendre compte devant des moldus. Je te laisse imaginer la scène. Alors il a fallu qu'on aille y faire un tour pour tout arranger. Ah, et deux gamins ont utilisé leur balai en plein centre de Londres aussi. Nan mais les gosses, j'vous jure ! » concluais je en levant les yeux au ciel, tout en remangeant un bout.

Effectivement, ce weekend n'avait pas été de tout repos. Mais c'était aussi ce que j'aimais dans mon travail au ministère. Avoir de nouveau cas, aller réparer les erreurs magiques, faire oublier aux moldus notre monde, se fondre parmi eux, et extirper de leur mémoire les souvenirs qui compromettraient le monde de la magie. J'adorais ça. Et si Anthea ne m'avait pas proposé le poste de professeur de Défenses contre les forces du Mal, je m'imaginais encore être Oubliator à 60 ans, marchant parmi les moldus en déambulateur avant de leur soumettre un petit coup d'Oubliettes.

Une fois le repas terminé, je laissais Garreth se charger de débarrasser la table à sa manière, puis m'emmener dans sa chambre en souriant. A peine la porte fermée, je pus goûter à la douceur de ses lèvres, baiser qui fut cependant trop court à mon goût, puisque le jeune homme se détacha bientôt pour aller se changer. Je ne me gênais pas pour le regarder pendant qu'il ôtait ses vêtements et en enfilais d'autres, glissant un regard appréciateur sur sa silhouette. Je riais doucement à sa remarque, tout en retirant mes chaussures :

« -Arrête, même dans la robe de Krakot, pas coiffé, et pas lavé depuis deux semaines, tu serais classe ! » dis je en souriant, tout en le rejoignant dans le lit.

Une fois couchée auprès de lui, je posais ma tête sur son torse, tout en contemplant les flammes de la cheminée qu'il venait d'allumer. C'était apaisant, c'était aussi pour cela que j'avais fait en sorte d'en avoir une dans mon bureau. Je me connaissais, je pouvais rester assise des heures sans bouger à regarder les flammes crépiter dans l'âtre de la cheminée, en pensant à tout et à rien. Je détachais finalement mon regard du feu, et fis ensuite glisser ma main le long de son torse, doucement, du bout des doigts, tout en remontant vers son menton. Puis, je pris son visage entre deux doigts et le tournais vers moi, l'embrassant à mon tour, avant de me reculer et de sourire. Je regagnais finalement le confort de son torse, sur lequel je posais ma tête :

« -Poudlard est triste sans élèves. Enfin, Poudlard n'est même plus Poudlard sans élèves. Tu me crois si je te dis que j'ai hâte que ce soit la rentrée, et que les cours reprennent ? Je vais devenir dingue sinon. Ou mourir d'ennui, je sais pas trop encore ! » concluais je, tout en me disant que je pourrais toujours travailler à temps plein au ministère pendant les vacances.
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Garreth H. Allen
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Garreth H. Allen
MessageSujet: Re: "La douceur d'un livre n'est rien comparée à celle de ta peau" [ft Garrou] "La douceur d'un livre n'est rien comparée à celle de ta peau" [ft Garrou] Icon_minitimeSam 11 Aoû - 0:14


” Oh une très belle blonde ”


"Je ne sais pas comment tu fais pour les supporter. Néanmosi, je me plais à t'imaginer dans le feu de l'action, tu dois être terriblement sexy en lançant des Oubliettes à tout bout de champs." J'eus un sourire en coin, les compliments étaient rare de mon coté, je considérais qu'en en disant le moins souvent, on faisait en sorte qu'ils soient doublement plus appréciés. C'était comme de dire je t'aime. Il n'y avait qu'avec Connor que j'arrivais encore le dire spontannément et presque souvent. Avec une fille, c'était encore jamais arrivé. C'était un mot que je voulais savourer, un mot que je voulais entendre à un moment parfait, un mot qui devait venir du coeur spontannément. Un mot sensible et rare à ma bouche qui pouvait devenir plus délicieux que le plus divin des nectars. J'avais coutume de dire : Je t'apprécie beaucoup après avoir vu un film il y'a peut être 10 ans de ça. Un film racontant une histoire d'amour entre deux poètes français. Le plus jeune disait toujours : Je t'apprécie beaucoup, alors que le plus vieux clâmait des Je t'aime qui sonnaient faux à tout bout de champs. Il disait aussi que le corps était plus important que l'esprit parce qu'il était éphémère. L'esprit pouvait être aussi éphémère à mon sens et doublement plus important. Si une personne mourrait trop jeune on perdait tout d'elle, corps et esprit, et parfois lorsque la vieillesse l'emportait, l'esprit était perturbé, et ne donnait plus rien de bon, même les souvenirs étaient déformés. Comment pouvait-t-on aimer juste un corps ? J'aimais les jolies femmes, je ne l'avais jamais caché à personne, j'étais comme tous ses hommes qui regardaient d'abord la courbure d'un joli fessier aux profondeurs de la couleur des yeux. Cependant, je me félicitais de ne pas aimer que ça. J'adorais détailler le visage d'une femme, contempler ses lèvres, me perdre dans ses yeux, regarder ses traits fins, les petites rides qui racontaient des histoires à chaque milimètre tracé. Blue était de ses beautés charismatiques qui feraient envie à n'importe qui. Blonde, fine, avec des petites formes qui faisaient tout son charme. Une bouche fine mais pulpeuse, rosée, un teint clair, une peau douce et sucrée. J'adorais lui faire l'amour parce que malgré tout, elle conservait sur elle se parfum que j'aimais tellement. Je n'avais jamais osé lui demander ce que c'était, mais pour moi, elle sentait bon comme le lila.

Elle m'arracha un faible rire en me disant que même en vêtement de Krakot et puant comme un blaireau je serais toujours aussi classe. Je ne me trouvais pas des plus classes, certes j'étais bien habillé au travail, mais j'avais une tête de bisounours un peu concon et bien souvent je ne savais pas quoi faire de ma chevelure rousse. Un véritable casse tête. La plus part du temps je passais ma main dedans avant de mettre un peu de gel pour qu'ils tiennent sans trop broncher. Rien de plus, rien de moins. Krakot les coupait à l'occasion, m'enfin, d'un coté j'étais assez heureux de ne pas avoir la paillasse de mon cousin adoré. Il avait un sacré tas de bouclettes en étant enfant et adolescent. Moi non, juste des cheveux roux, épais, et pas vraiment facile à coiffer. "T'es mignonne". Je le disais dans le sens : t'es sympa de dire ça. Caressant la peau fine et douce de son bras, je fixais les flammes dansantes devant nos yeux alors que sa tête reposait sur mon torse. On aurait pu rester comme ça une partie de la nuit. J'eus un frisson fin et presque imperseptible lorsqu'elle me caressa du bout des doigts doucement, je répondis à son baiser. Ce moment de calme total avait un petit goût de paradis. Même si on était bien ensemble avec Blue, en couple c'était pareil en faite. On ne changeait rien à notre manière d'être, et on ne se manquait pas. Enfin si comme des amis, mais pas comme des gens censés s'aimer. C'était pour ça principalement qu'on avait décidé d'être juste ami tout en passant parfois des nuits ensemble. Parce qu'on en avait besoin de une. C'était primaire et bestial comme besoin, mais nécessaire en même temps, et parce qu'on aimait faire ça ensemble. Et puis de deux, je préfèrais l'avoir elle en amante régulière qu'une fille différente chaque nuit qu'on doit apprendre à satisfaire à chaque fois. Je savais comment Blue fonctionnait, elle savait comme je marchais. Elle ouvrit enfin la bouche me faisant sortir de mes songes, je souriais un peu l'enlaçant un peu plus. Je la comprenais en un sens. Personnellement je vivais un peu se creux après la rentrée. Tout le monde avait acheté ses livres alors de la mi-septembre à la mi-novembre c'était vraiment calme. Jusqu'à ce que l'on ne prépare les cadeaux de Noël et les commandes spéciales. "Je te comprends. Enfin presque. Je ne vis pas la même chose, au contraire pendant les vacances la boutique est plus que remplie même, mais après la rentrée y'a un sacré creux, et je passe plus de temps à faire du ménage qu'autre chose." Je soupirais faiblement avant d'embrasser son front tendrement. "Tu vas pas devenir dingue. Quand tu t'ennuies trop viens ici ! Je dis pas que je vais t'embaucher, mais bosser à deux parfois c'est bien. Ca peut faire passer des bons moments non ?" Je la mis sur le dos avant de me placer au dessus d'elle, bras tendus en souriant. "Tu es bien trop belle pour te faire du mourron, la tristesse plombe ton visage. Allez ! Souris, fais toi sublime." Je l'embrassais avec plus de passion afin de la dérider un peu, l'enlaçant contre mon corps musclé et chaud. Je n'avais pas spécialement envie de sexe, mais comme la pleine lune approchait à grand pas, et que j'étais angoissé, j'étais plus câlin qu'à l'ordinaire. Connor le savait plus que bien. Je m'énervais plus facilement d'un coté, mais j'étais deux fois plus tendre de l'autre. Embrassant sa joue en rompant notre baiser, je m'allongeais sur le coté en lui caressant le ventre doucement. "Tu devrais profiter des vacances pour vivre un peu plus. Ne pas penser qu'à tes cours, qu'à tes élèves, ou qu'au ministère. Penses à toi, embarques Sofia ou une amie et va faire du shopping, ou part en camping, ou dans un endroit thermal, au thibet, n'importe où ! La vie est trop courte Blue, j'ai peur que la mienne ne s'arrête à chaque pleine lune, et pourtant j'ai l'impression d'être le plus coincé de tous ici. Fais pas mon erreur, et profite de ta vie avant qu'elle ne décide de s'en aller contre ton avis."
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"La douceur d'un livre n'est rien comparée à celle de ta peau" [ft Garrou]

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